Le rapport d’expertise judiciaire a confirmé mercredi 21 novembre que l’incendie d’un des bâtiments de l’Esat (établissement de service et d’aide au travail) du centre Jean-Itard, le 1er novembre dernier, était bien d’origine criminelle.
Ce rapport a également mis en avant le départ de deux feux distincts. L’enquête est toujours en cours.
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L’ACAIS partie civile
Luc Gruson, directeur de l’Association du Cotentin d’aide et d’intégration sociale (ACAIS), qui gère le centre Jean-Itard, n’est pas surpris par la nouvelle :
Je suis ravi d’avoir la preuve que mes convictions étaient les bonnes. Maintenant, nous espérons que les services de police et la justice parviennent à trouver le ou les auteurs de ces faits.
Il indique également que l’ACAIS a décidé de se constituer partie civile.
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