RK avec les jeunes du Château des Vaux.

C’était Noël avant l’heure pour une petite soixantaine de jeunes accueillis, durant la semaine, dans un des foyers des établissements Notre-Dame (Apprentis d’Auteuil) situés au Château des Vaux (Eure-et-Loir).

Ryad, de son nom de scène RK, leur idole, un chanteur de rap au succès fulgurant, mais surtout un ancien jeune accueilli il y a 3 ans au Collège Saint-François et sur ce foyer appelé « la Renaissance », est venu à leur rencontre, dans le plus grand secret.

Plus d’un million de vues sur YouTube

« La visite se voulait intimiste, car recevoir un jeune artiste connu et reconnu des jeunes, originaire de Meaux, qui cumule plus d’un million de vues sur YouTube, avec plus de 600 000 abonnés et qui vient de sortir un album déjà vendu à plus de 50 000 exemplaires, ce n’est pas rien » expliquait Rémi Rolland, son ancien éducateur qui avait tout organisé dans le plus grand secret avec l’équipe éducative.

Rendez-vous était pris à 16h avec Ryad/RK et son équipe. La surprise a été totale lorsqu’autour d’un goûter, « RK », est apparu aux jeunes pensionnaires.

Un moment fort pour tous et notamment pour ce jeune artiste.

« Je sais ce que je vous dois, dit-il aux équipes éducatives, c’est aussi pour ça que je suis là ».

Et il faut dire que RK n’était pas venu les mains vides, car c’est avec son disque d’or, qui récompense plus de 50 000 ventes de son premier album, qu’il ponctuait son discours aux jeunes sur le bien-fondé de ce que lui ont apporté les équipes pédago-éducative du Collège et du foyer, lors de son année en 3e Section Sportive Foot.

Un disque d’or offert au foyer en souvenir de tous ces moments et bons souvenirs qu’il s’est remémorés avec les éducateurs.

L’exemple de la réussite

Après la surprise, est venu le temps des échanges avec les jeunes du foyer et quelques autres jeunes accueillis au Château des Vaux car l’information de sa présence a vite fait le tour du site !

S’en est suivie enfin une séance de dédicaces et des photos avec chacun.

« Tous ont un instant privilégié avec leur idole RK et ce fut un moment intense pour tous les jeunes qui n’en croyaient pas leurs yeux » expliquait Rémi, éducateur.

Un bel exemple pour tous, d’une réussite fulgurante car le jeune rappeur est en tournée dans toute la France en 2019 et se produira même à l’Olympia et à la Cigale où c’est déjà complet !

La 14 édition du festival de Saint-Servant est annoncée pour juillet 2019. (Photo d’archives.)

À Saint-Servant (Morbihan), le Festi’Val de l’Oust est une institution. Mais cette année, les organisateurs, tous bénévoles, avaient pris une lourde décision : celle d’annuler l’édition 2018. La raison ? La première Fête du bruit organisée à Saint-Nolff sur les mêmes dates.

En 2019, le festival associatif organisé par Les Foustivités remonte en selle. Et donne rendez-vous les 5 et 6 juillet dans la commune de 800 âmes.

« Il faut sauver le monde associatif. Nous avions été pris de court l’an passé mais nous relançons la machine, plus motivés que jamais », argue d’emblée Pascal Le Brazidec, président et locomotive de l’événement.

Reggae et électro

Le Festival ne veut pas céder sa place et revient sur le devant de la scène avec une programmation éclectique et familiale. Les deux premiers noms du cru 2019 ont été annoncés sur la page Facebook de l’association lundi 17 décembre.

Biga Ranx, de son vrai nom Gabriel Piotrowski, est une pointure du Reggae/Hip-Hop. Celui qui se consacre entièrement à la musique depuis l’âge de 14 ans a sorti son premier album « On Time » en 2011 sous le label X-Ray Production.

Son second album, en 2013, remplit à quelques mois d’intervalle La Cigale et Le Bataclan. En 2015, Biga Ranx livre avec « Nightbird » un album très personnel puisque l’artiste y est auteur et compositeur. Il a une vision à la fois moderne et raffinée du Reggae.

Huit groupes à l’affiche

Place ensuite à Hilight Tribe. Avec six albums, quatre clips et 500 concerts à son actif, le groupe innove dans un son electro-instrumental où fusionnent guitare, basse, batterie, voix congas, djembé, didgeridoo et autres percussions ou instruments à cordes originaires des quatre coins du monde.

«  Nous n’oublions les racines du festival, rassure le Pascal Le Brazidec.

La musique celtique aura toute sa place. Six autres groupes vont compléter l’affiche. »

Mamoudou Diallo a inscrit le premier but de son équipe. (©Le Pays d Auge)

Le derby entre Villers-Houlagte et Honfleur était l’événement en régionale 3. Un match remporté par Villers-Houlagate sur le score de 3-0 . Une rencontre marquée par le premier but des locaux. Celui-ci a été inscrit suite à une superbe action collective avec notamment un changement d’aile de Léo Trégoat suivi d’un débordement puis d’un centre en retrait de Mathieu Thirouin pour Mamoudou Diallo qui a glissé le ballon au fond des filets. 

Antoine Bugeon secrétaire, Mathilde Sappin secrétaire adjointe et Etienne Daussy trésorier (de gauche à droite) (©Courrier vendéen.)

Cette année le thème de l’affiche des Régates du Bois de la Chaise se tournera vers « Le plaisir de naviguer ». « Cette année nous fêterons la 30e édition de la régate depuis que La Chaloupe l’a relancée. À l’origine, beaucoup de bateaux se mélangeaient que ce soit du yatching, des pêcheurs, des plaisanciers et même des petits canots. Au fil du temps cela s’est modifié, les bateaux de pêches se sont modernisés et motorisés ».

Chaque année, un concours est lancé pour dessiner l’affiche de la manifestation. Pour l’affiche 2019, certaines contraintes sont imposées avec une œuvre qui devra définitivement mesurer 40 cm par 60 cm, en format portrait ou paysage, « mais il faudra que les artistes laissent une place suffisante pour y inscrire les intitulés : date, lieux, etc…, une place afin que ces données soient lisibles ».

Jusqu’au 14 janvier

La première date butoir est le 14 janvier, date à laquelle les personnes intéressées devront se rapprocher de La Chaloupe. Le cahier des charges pourra leur être envoyé. « Tout procédé artistique est accepté, mais il est important de pouvoir reconnaître sur l’affiche les éléments de Noirmoutier comme la Plage des Dames, ou le Bois de La Chaise ».

L’affiche retenue sera dévoilée le week-end de Pâques.

Renseignements : associationlachaloupe.org ou lachaloupe@wanadoo.fr

Lire aussi : les Régates du Bois de la Chaise, trois jours de fête autour des vieux gréements 

Le festival Acoustic du Poiré-sur-Vie fête ses dix ans en compagnie de Manu Katché qui a convié plusieurs invités dont Tété et Keziah Jones.

Le festival Acoustic du Poiré-sur-Vie fête ses dix ans. Avec une programmation en mode nostalgique puisque des « ex », qui ont tous la particularité de porter des chapeaux, reviennent sur la scène genôte.

Vendredi 22 mars, à 20 heures, Illona Bolou va ouvrir la dixième édition. Une guitariste virtuose aux dires des organisateurs. À 20 h 45, suivra Hugo Barriol, repéré dans le métro parisien, où il a d’ailleurs été élu meilleur chanteur en 2016.

Le premier homme à chapeau, Manu Katché, débarquera avec ses invités à 22 h 15 pour le bœuf des dix ans. Parmi eux : deux autres têtes chapeautées, Tété et Keziah Jones. Le troisième invité du batteur est Hugh Coltman. Un quatrième larron dont le nom est pour le moment « top secret » complétera l’équipe.

Samedi 23 mars, à 20 h 30, « LA vedette » prendra possession de la salle de l’Idonnière. Pour l’heure, son nom n’a pas encore été dévoilé. Il le sera début janvier, lors du dévoilement de sa tournée.

Dimanche 24 mars, à 19 heures, Naya ouvrira le rideau. La benjamine du festival qui aura fêté ses 19 ans cinq jours plus tôt. Autre voix féminine, à 20 heures, avec Clara Luciani, puis retour d’un homme à chapeau pour boucler le dimanche avec Charlie Winston. Le dandy anglais présentera son nouvel album à 21 h 30.

 Les tickets sont en vente sur le site acoustic-festival.fr. Tarifs : 10 € pour les enfants, de 24 à 47 € pour les adultes. Pass assis 95 €, debout 90 € (deux jours).

Lors de la visite du nouveau magasin LIDL situé avenue de Ratier.

Une visite de fin de chantier a eu lieu jeudi 6 décembre 2018.

Mercredi 9 janvier 2019, la zone commerciale du quartier Saint-Georges (avenue de Ratier) verra l’ouverture du magasin de l’enseigne de grande distribution LIDL.

Le bâtiment est implanté entre les concessionnaires Renault et Volkswagen et le magasin But. Il est sorti de terre en l’espace de six mois environ, comme l’explique Hélène Vivien, responsable immobilier au sein du groupe LIDL. « La démolition des anciens locaux s’est déroulée fin juin, et les travaux ont débuté dans la foulée, pour un aménagement de l’espace de vente à partir du 17 décembre. Pour ceux-ci, nous avons fait appel à des entreprises locales et régionales. Nous sommes sur une surface de 2 000 m² de surface plancher pour 1 000 m² de surface de vente, avec un parking clientèle en matériaux perméables d’une centaine de places. La toiture du bâtiment est équipé de 500 m² de panneaux photovoltaïques et hydrauliquement transparent de par sa situation en zone inondable. »

20 salariés ont été embauchés en CDI

Sous la responsabilité de Sabrina Cayrel, une vingtaine de salariés (adjoints, managers, caissiers, chef de rayon…) sont embauchés, mutés d’autres magasins lotois et recrutés spécialement, uniquement en contrat à durée indéterminée (CDI).

L’espace de vente comprend six caisses, plus une borne de recharge pour véhicules électriques à l’extérieur destinée à la clientèle. Hélène Vivien précise que « le magasin sera ouvert tous les jours ». « Tous les produits sont fournis depuis notre base logistique à Toulouse. On espère ici capter l’intérêt, l’attractivité, et un service de proximité. 1 600 références de produits sont proposées dont 75 % de la gamme France en été. »

Le maire, André Mellinger, présent lors de la visite de fin de chantier, revient sur la notion d’attractivité. « Il y a ici un vrai service de proximité qui s’installe dans une zone commerciale, qui s’étoffe encore, dans le respect des aménagements environnementaux. »

SÉBASTIEN CASSES

La première (et longue) étape fut de faire sécher les murs.

Ils n’ont pu accéder au site que le mercredi 13 juin 2018, avec la baisse de l’eau. Qui a laissé apparaître des dégâts considérables. « J’étais sidéré », se remémore Michel Julien, maire de Saint-Denis-sur-Sarthon (Orne).

Le CRIL a donc été fermé. Il abritait plusieurs associations : le centre social, le club de judo, la Musique départementale des pompiers, la médiathèque, l’association faune et flore de l’Orne, le club des anciens, l’Association Découverte de la Nature de Livaie, le relais assistantes maternelles… « Ce bâtiment, qui bénéficie du soutien de la Communauté urbaine d’Alençon, est occupé à 100 % ».

Il a donc fallu trouver des solutions.

Lire également : inondations au pays d’Alençon

« Tout le monde s’est mobilisé et la commune a mis à disposition ses locaux ».

Les enfants du centre social ont été hébergés dans la cantine, la salle de motricité de l’école et la garderie, le personnel administratif en mairie, le club de judo à la salle des fêtes…

L’eau avait submergé le rez de jardin. (©L’orne hebdo)

Faire sécher les murs

Seul le rez-de-jardin du CRIL a été submergé, touchant principalement la salle multisports (qui accueille le judo et le yoga) ainsi que la petite enfance. Les étages n’ont pas été touchés mais le bâtiment ne fut pas rouvert au public aussitôt.

« La première étape fut de faire sécher les murs. Puis attendre le passage des experts. Nous avons aussi dû faire réparer l’ascenseur ».

Même si cette catastrophe reste exceptionnelle, « c’est la première fois que nous avons à faire à une telle inondation », la commune a préféré agir en prévision, « l’accueil petite enfance monte au premier étage. Nous gardons au rez-de-jardin une salle de réunion, une petite cuisine et la salle de sport ». La médiathèque a été installée au premier étage également depuis le mois de septembre.

Les travaux doivent débuter le 2 janvier. Avec une ouverture courant ce mois pour la salle de motricité, « c’est notre priorité ». La commune modifie en parallèle le système de chauffage du CRIL qui avait besoin d’être changé, « pour un budget conséquent de 110 000 € », avec une pompe à chaleur eau/air.

L’eau est rapidement monté à l’école Géraud, aujourd’hui bientôt prête à accueillir les élèves. (©L’Orne hebdo)

L’école Jeanne-Géraud va retrouver ses locaux pour la rentrée de janvier

La crue de la Briante n’a pas épargné l’école maternelle Jeanne-Géraud à Alençon (rue Anne-Marie Javouhey). Rapidement, l’eau s’est infiltrée dans la cour puis les classes. Obligeant un déménagement en urgence. Équipe pédagogique et enfants ont pris la direction de l’ancienne école Jacques-Prévert, dans le quartier de la Croix-Mercier.

« Dans notre malheur, nous avons eu la chance de bénéficier de cette infrastructure laissée vacante », confie la directrice Frédérique Lelièvre.

Elle garde en mémoire ce 12 juin, « on a vu l’eau monter dès 7h, par l’arrière de l’école, il y a eu rapidement 1 m dans les garages. Puis elle est arrivée par-devant, côté rue, à partir de 10h ». La mobilisation est totale afin d’accueillir au mieux les enfants, dirigés vers l’école primaire voisine, Jules-Ferry. « Mais cette école n’a pas les bâtiments pour recevoir des petits. Donc l’accueil à la Croix-Mercier fut une chance ».

Grand nettoyage cette semaine

Mais bientôt, tous vont retrouver l’école Jeanne-Géraud où les travaux sont terminés.

« Nous sommes dans les cartons ! Les peintures des quatre classes sont terminées, dans des tons beaucoup plus clairs qu’avant. Les sols ont été refaits. Cela aurait pu être pire : la structure n’a pas bougé et nous n’avons pas perdu de matériel… Un grand nettoyage est prévu cette semaine et le déménagement doit avoir lieu pendant les vacances de Noël. Pour une rentrée le 6 janvier ! Et même si nous sommes très bien ici, nous avons hâte. C’est notre école, c’est affectif ».

Si les plus grands sont ravis, c’est l’inconnu pour les plus petits. « Ceux qui ont fait leur rentrée en septembre ne connaissent pas Jeanne-Géraud. Bientôt, nous leur montrerons des photos, quand le ménage sera terminé ».

Nuit de la lecture le 18 janvier

La directrice salue le soutien de la collectivité, « qui a fait refaire les peintures du couloir et du hall cet été à Jacques-Prévert. Deux navettes ont été mises à disposition le matin et un soir pour les trajets des enfants. Tout le monde a donné beaucoup d’énergie, les Atsem et notre cantinière notamment. Elles ont dû s’adapter, ce sont elles qui ont eu le plus de contraintes ».

Une page se tourne et avec 2 019, chacun veut oublier l’année écoulée.

« Le 18 janvier, nous allons fêter notre retour avec une animation particulière, en partenariat avec le musée d’Alençon : la nuit de la lecture, à partir de 18 h ».

(©Syndicat du chaource)

Huîtres chaudes au Chaource AOP

Pour 8 personnes : 48 huîtres, 1 échalote, 200 ml de vin blanc, 1 kg de feuilles d’épinard fraîches, 250 g de Chaource AOP, 3 jaunes d’œufs, ½ citron, 250 g de beurre, gros sel, sel et poivre.

Ouvrir les huîtres en gardant leur eau à part puis la filtrer. Dégager les huîtres de leurs coquilles et réserver. Ciseler l’échalote et la mettre dans une casserole avec le vin blanc et l’eau des huîtres. Faire frémir votre mélange afin de pocher rapidement les huîtres dedans. Réserver le jus de cuisson.

Laver les feuilles d’épinards, leur couper la queue. Faire chauffer une grande casserole d’eau. Plonger les feuilles d’épinard dans l’eau bouillante pendant 2 petites minutes puis les débarrasser dans un bain d’eau très froide pour qu’elles gardent leur belle couleur. Envelopper chaque huître dans une feuille d’épinard.

Faire réduire le jus de cuisson des huîtres et faire fondre le beurre.

Confectionner une sauce hollandaise : mélanger dans une casserole les 3 jaunes d’œufs, le jus d’½ citron et ½ verre d’eau. Bien fouetter et mettre sur feu doux, continuer de fouetter, le mélange doit être bien mousseux. Continuer encore de fouetter jusqu’à obtention d’un mélange onctueux et légèrement coagulé. Ajouter le beurre fondu tout en continuant de fouetter pendant 2 à 3 minutes pour monter la sauce au beurre. Assaisonner. Ajouter le jus de cuisson des huîtres réduit à votre sauce hollandaise.

Tailler le Chaource en petits dés. Disposer les coquilles d’huîtres dans un plat en les calant avec du gros sel. Déposer dans chacune d’elles une huître enveloppée, quelques dés de Chaource et napper de sauce. Chauffer votre four sur la position grill et gratiner les huîtres pendant 2 à 3 minutes. Servir immédiatement.

Saumon en croûte de haricots beurre, carottes glacées au miel et poêlée de légumes C’Zon aux fruits secs caramélisés

(©Roseandcook/C’Zon)

Pour 4 personnes : ½ barquette d’asperges pourpres C’Zon, 1 barquette d’asperges et bimis C’Zon, 1 barquette de carottes tricolores Chantenay C’Zon, 1 botte d’oignon cébette C’Zon, 1 gros morceau de beurre (env. 20-25 g), 4 pavés de saumon sans la peau, 2 pâtes feuilletées pur beurre, sel, poivre, un œuf pour dorer, miel d’acacia, vinaigre de cidre, huile d’olive. Purée de haricots blancs : 2 x 500 g de haricots beurre C’Zon, 1 botte d’oignons cébette, 2 c. à soupe d’huile d’olive, sel aux herbes. 60 à 80 g de fruits secs (pistaches, cacahuètes, noix de cajou…), 2 c. à soupe de sirop d’érable.

Fruits secs caramélisés : mettre des fruits secs concassés dans une poêle antiadhésive, les faire griller quelques minutes et ajouter le sirop d’érable. Faire caraméliser sans laisser brûler et laisser refroidir sur une feuille de papier sulfurisé.

Faire précuire à la vapeur 8 minutes, ensemble, les bimis et les asperges dont on aura coupé 2 cm (à garder pour un velouté). Réserver.

Purée de haricots blancs : faire cuire les haricots blancs dans de l’eau salée bouillante le temps indiqué sur le paquet, les égoutter. Dans une poêle, faire revenir 1 botte d’oignons cébette coupés finement en rondelles dans 2 cuillères à soupe d’huile d’olive quelques minutes, puis ajouter les haricots blancs égouttés. Faire revenir 5 minutes le temps que les saveurs se mélangent. Prélever l’équivalent d’un petit bol (on les ajoutera à la poêlée de bimis/asperges). Mettre le reste dans un mixeur et mixer avec une bonne pincée de sel aux herbes pour obtenir une purée fine. Laisser refroidir.

Carottes : rincer et égoutter, couper le bout puis en 2 dans le sens de la longueur et encore en 2. Dans une poêle antiadhésive, mettre 1 gros morceau de beurre avec ½ botte d’oignons cébette émincés. Ajouter les carottes et bien remuer. Cuire à couvert 15 minutes en remuant de temps en temps. Découvrir puis ajouter une cuillère à soupe de miel et 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre. Assaisonner et réserver.

Saumon : préchauffer le four à 180°C. Étaler les 2 pâtes feuilletées. Mettre les pavés de saumon sur la pâte feuilletée en les éloignant. Découper 2 cm autour de chaque pavé. Soulever chaque pavé et mettre de la purée de haricots blancs dessous et dessus. Couvrir avec un autre morceau de pâte feuilletée. Couper et souder en appuyant avec les doigts sur les bords. Éventuellement faire des motifs sur la pâte en la « rayant » à l’aide de la pointe d’un couteau, mais sans percer la pâte. Dorer avec un œuf entier battu. Poser le poisson sur une feuille de papier sulfurisée, sur une plaque de cuisson et enfourner pour 20 à 25 minutes : la pâte feuilletée doit être bien dorée à l’extérieur.

Bimis et asperges : dans une poêle, faire revenir ½ botte d’oignons cébette émincés avec de l’huile d’olive quelques minutes. Ajouter les bimis et les asperges précuits et faire chauffer 5 minutes au moins. Ajouter les haricots beurre mis de côté au moment de la purée. Au moment de servir, ajouter les fruits secs caramélisés sur le dessus (les couper s’ils sont devenus trop durs).

Servir le saumon en croûte de haricots blancs avec les carottes glacées au miel et la poêlée aux mendiants.

Pintade farcie aux pommes & mousseline de pommes de terre Pompadour

(©Pomme de terre La Pompadour)

Pour 6 personnes : 1 kg de pommes de terre Pompadour Label Rouge, 1 pintade chaponne de 2 kg environ, 6 pommes de type Royal Gala, 200 g de châtaignes pelées, 1 oignon, 1 branche de romarin frais, 1 c. à soupe d’huile d’olive, 10 cl de calvados, 10 cl de crème liquide, 15 g de beurre, 1 c. à café rase de sucre roux, muscade en poudre, poivre et sel.

Préchauffer le four à 200°C. Placer la pintade dans un plat, la badigeonner d’huile d’olive, saler et poivrer. Disposer autour le romarin et l’oignon finement émincé. Enfourner 90 minutes. Au bout de 10 minutes, verser 50 cl d’eau autour de la pintade et l’arroser régulièrement.

Cuire les pommes de terre Pompadour épluchées dans l’eau bouillante salée pendant 30 minutes. Les égoutter et les passer au presse-purée. Ajouter le beurre fondu et la crème, saler et poivrer.

Réchauffer les châtaignes au four micro-ondes avec un peu de jus de pintade.

Déglacer le plat avec le calvados, ajouter le sucre et saupoudrer de noix de muscade. Disposer les pommes coupées en quartier et enfourner jusqu’à ce que les pommes soient bien dorées.

Dresser la pintade accompagnée de la mousseline de pommes de terre Pompadour Label Rouge et des châtaignes.

Mini-pavlova aux fruits et huile O’citron

(©Bio Planète)

Pour 4 personnes : Meringue : 4 blancs d’œufs,  3 gouttes de jus de citron, 200 g de sucre, 1 c. à soupe de fécule de maïs. Chantilly : 40 cl de crème fleurette entière, 3 cl d’huile O’citron Bio Planète, 20 g de sucre glace. Fruits : 3 grenades, 1 gros bocal de cerises dénoyautées, 1 c. à soupe de sucre glace, 1 c. à café de gingembre râpé́ (facultatif).

Préchauffer le four à 100°C. Monter les blancs d’œufs en neige ferme avec le jus de citron, ajouter le sucre. Battre 5 minutes avant d’incorporer la fécule. Chemiser une plaque de four avec une feuille de papier sulfurisé. Pour chaque pavlova, former un nid de meringue de 5 cm de diamètre. Enfourner 1 heure et laisser refroidir dans le four.

Monter la crème fleurette en neige, ajouter l’huile O’citron et le sucre glace. Réserver au frais.

Prélever les grains de la grenade, ajouter les cerises égouttées. Sucrer selon votre goût en ajoutant du gingembre si vous le souhaitez. Réserver au frais.

Dressage : ajouter, sur les pavlovas, une belle couche de chantilly puis de fruits. Déguster aussitôt.

APEI-Actualités

Jean Piret, président des Scènes du Jura, au côté de Virginie Boccard. (©Voix du Jura)

La signature de la convention pluriannuelle d’objectifs des Scènes du Jura par seize partenaires (représentants de l’État, de la Région, du Département et de communautés de communes) a été l’occasion pour nombre d’entre ces signataires de saluer le travail réalisé par Viginie Boccard, directrice de la structure.

Son départ pour Le Mans était annoncé : mais ce ne sera pas dans l’immédiat, elle restera dans le Jura jusqu’à la fin de saison.

Une bijouterie de Sotteville-lès-Rouen a été la cible d’une attaque à la voiture-bélier, mardi 18 décembre 2018. (©SL / 76actu)

L’attaque a eu lieu au milieu de la nuit, mardi 18 décembre 2018. Une voiture a percuté le rideau de fer d’une bijouterie de Sotteville-lès-Rouen (Seine-Maritime). Si le butin n’est pas encore connu précisément, il sera élevé, au vu de la rapidité avec laquelle le ou les malfaiteurs, recherchés par la police, ont agi. 

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La voiture-bélier utilisée pour faire plier le rideau de fer

« Ils ont tout bousillé », se désole l’ancienne gérante de la bijouterie de la rue Pierre-Corneille, attaquée mardi. Les cambrioleurs ont agi aux alentours de 4h du matin. Les policiers ont été alertés par l’alarme qui s’est déclenchée lors de l’intrusion des malfaiteurs. Quand ils sont arrivés sur place vers 4h20, seule la voiture utilisée en marche arrière pour forcer le rideau de fer de la boutique était présente. 

Lequel a plié sous le choc. À l’intérieur, la vitrine a été brisée et les étals de montres gisent au sol. Ceux qui ont lancé le véhicule contre la devanture ont pu entrer à l’intérieur et emporter des bijoux avant de partir. Afin de masquer leur méfait, ils ont aspergé les lieux et le véhicule utilisé, une Ford Fiesta, avec de la poudre d’extincteur.

L’intérieur de la bijouterie a été dévasté par le choc de la voiture utilisée comme bélier. (©SL / 76actu)

L’attaque à la voiture-bélier, une première dans cette bijouterie

Juste après les faits, une équipe de policiers de l’identité judiciaire ont fait les premiers relevés. L’ex gérante, dont la fille a repris l’affaire, ne sait pas encore à combien se chiffre le butin. Mais il est sans doute élevé : « Ils ont eu le temps d’aller côté or. » Mardi matin, l’accès à la bijouterie est réservé aux experts, qui feront les constatations nécessaires pour l’assurance. 

Si la bijouterie a déjà été la cible d’un cambriolage, « c’est la première fois » qu’un tel mode opératoire est employé pour l’attaquer. L’enquête en cours a été confiée aux policiers de la Sûreté départementale.

Les premiers toboggans du parc aquatique d’Europa Park sont posés. (©Europa Park)

Le chantier du gigantesque parc aquatique d’Europa Park avance toujours plus vite. Alors que la direction du site de loisirs a dû se résoudre à geler son projet de téléphérique entre la France et l’Allemagne, son dernier défi continue de sortir de terre. « Rulantica : le nouvel univers aquatique d’Europa-Park » doit ouvrir dans un an, fin 2019.

Les ouvriers ont posé les premiers toboggans et une partie du toit de la gigantesque structure la semaine dernière. Après le gros oeuvre, ce sont désormais les attractions et les installations intérieures qui poussent comme des champignons. Du côté du nouvel hôtel voisin, l’avancée des travaux est spectaculaire. Les façades sont presque terminées et les chambres commencent à être aménagées. 

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Les quartiers thématiques dévoilés

Europa Park a dévoilé lundi 17 décembre 2018 le contenu des quartiers thématiques qui doivent composer le futur site aquatique :

• « Trølldal » : cette zone est spécifiquement pensée et adaptée aux besoins des plus jeunes. Ils pourront profiter d’une aire de jeux aquatiques, de toboggans et de cabanes dans les arbres, mais aussi approcher les trolls de Rulantica qui protègent l’île.
• « Rangnakor » : la ville sur pilotis impressionne avec ses gigantesques toboggans construits par les premiers habitants de Rulantica.
• « Skip Strand » : c’est un véritable terrain de jeux et d’aventures avec des trois-mâts échoués et quantité de filets et cordages.
• « Vinterhal » : ce quartier comporte une gigantesque caverne de glace composée de nombreux toboggans et qui recèle un précieux trésor placé sous la protection de Svalgur, un serpent pétrifié dans la glace.
• « Lumȧfals » était la contrée natale des sirènes et des tritons, protecteurs de l’île. Ils habitaient dans une grotte qui abrite désormais une piscine à vagues alimentée par une immense cascade, au détour de laquelle on rencontre encore aujourd’hui de nombreuses sirènes. 
• « Skog Lagune » offre une oasis de calme grâce à ses cascades et bains bouillonnants, le tout niché dans un écrin de pins et de rochers à l’extérieur du parc. La rivière sauvage « Wild River » attend les nageurs avides de sensations fortes. Les baigneurs peuvent également s’amuser dans la piscine extérieure de 500 m2 puis se prélasser au soleil sur l’une des 500 chaises longues.

Au total, 25 attractions aquatiques dont 17 toboggans pour petits et grands vont être inaugurées pour la première phase.

La plus grande piscine à vagues d’Allemagne, une rivière de détente « Mystery River » et bien d’autres divertissements, répartis dans un hall de 20 mètres de haut, promettent de nombreux plaisirs aquatiques pour toute la famille. Europa Park prévoit aussi l’ouverture d’un grand espace de relaxation avec ses 1 700 chaises longues.

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Restaurants, « poolbars », boutiques, hôtel et navettes

Dans le style d’un hangar à bateaux à côté de l’hôtel « Krønasår », le grand restaurant familial « Bubba Svens » proposera une offre de restauration variée. Par ailleurs, un autre restaurant self-service et un café proposant des délices sucrés dans l’entrée de l’univers aquatique sont également à la disposition des visiteurs.

Deux poolbars, intérieur et extérieur, feront le bonheur de ceux qui souhaitent profiter d’une boisson sans quitter la piscine. Trois boutiques permettent également aux nageurs de renouveler leur équipement de bain ou de se dénicher un petit souvenir.

Par ailleurs, pour faciliter les trajets, un service de navettes reliera directement le parc aquatique et l’entrée du parc Europa Park ainsi que les cinq autres hôtels de la destination. 

Le nouvel hôtel sera quant à lui ouvert dès le printemps 2019. Il est déjà possible de réserver pour un séjour dès le 31 mai 2019. Il comprendra 276 chambres thématiques et 28 suites. Mais aussi deux restaurants, deux bars, des salles événementielles et un service de location de vélos.

Le futur hôtel jouxtant le parc aquatique. Les façades sont quasi terminées et l’aménagement intérieur débute. (©Europa Park)

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Potager, poules, tri des déchets et pesée alimentaire sont reconduits pour 2019.

Un escape game 

L’institutrice de l’Hêtre aux savoirs des Grandes-Ventes (Seine-Maritime) souhaite créer un escape game sur le thème du gaspillage alimentaire. Le jeu ne se déroulerait pas dans une salle close mais prendrait la forme d’énigmes. Cette activité interviendrait en plus des actions déjà menées telles que la pesée des déchets, le potager, la présence des poules.

Une classe d’eau

Autre nouveauté, la création de classe d’eau. La responsable a candidaté auprès de l’Agence de l’eau pour obtenir une subvention. Pendant une semaine, les cours conventionnels seraient remplacés par l’étude de l’eau sous toutes ses formes. Mathématiques, arts plastiques et géographie entre autres tourneraient autour de l’eau.

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Une brigade verte

Bientôt une brigade verte ? Pour trier et continuer à valoriser les déchets, Séverine Jaffrezic espère la mise en place d’une brigade verte. Les élèves ramasseraient régulièrement dans chaque classe les déchets papiers et plastiques pour les trier. Par ailleurs, l’enseignante souhaite étendre le tri des déchets, qui se fait avec ses élèves, à l’ensemble des classes.

Mathieu Martin, qui voyageait en Argentine, n’a pas donné de nouvelles à ses proches de Toulouse depuis plusieurs mois.(©DR)

Deux hommes ont été arrêtés dans la région de Salta, en Argentine, dimanche 16 décembre 2018. Des arrestations liées à la disparition en août 2018 de Mathieu Martin, un jeune homme originaire d’Aussonne (Haute-Garonne), près de Toulouse, qui voyageait dans cette région du nord de l’Argentine.

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Ses proches ont appris la nouvelle par la presse locale

À Toulouse, la famille de ce jeune homme de 32 ans a appris la nouvelle par la presse Argentine. Perrine Martin, sœur du globe-trotteur disparu explique : 

On a découvert l’information lundi, notamment dans un article du journal Et tribuno. Depuis, on est dans le flou et dans l’attente, la police locale ne nous dit rien. 

Un corps découvert dans la région

Les noms des deux hommes arrêtés n’évoquent rien à la famille de Mathieu Martin.  « On sait que la police suspectait une famille de la région de Volcan Higueras, déjà connue de leurs services,  mais les noms ne correspondent pas ». 

D’autres médias argentins évoquent la découverte d’un corps dans la zone où Mathieu Martin a disparu. Mais là encore, les informations sont extrêmement parcellaires, comme l’explique Perrine Martin :

La police ne nous a rien confirmé. J’imagine que tant que tout n’est pas vérifié ils ne nous disent rien, mais pour nous cette attente est horrible.

Emmanuel Macron avait interpellé le président argentin

C’est le 8 août 2018 que Mathieu Martin avait donné des nouvelles à ses proches pour la dernière fois. Il voyageait seul, au nord de l’Argentine et s’apprêtait à rejoindre le Paraguay. Depuis la famille et l’entourage de ce jeune homme habitué des voyages se mobilise pour tenter de le retrouver et d’en savoir plus.

Une marche de soutien avait ainsi été organisée à Toulouse fin novembre 2018, et la famille avait sollicité le soutien d’Emmanuel Macron :

On nous a dit qu’il en avait parlé avec le président de l’Argentine lors du G20 qui s’est tenu là-bas fin novembre et avait demandé à ce que tous les moyens soient mis en place pour le retrouver.

Une intervention qui selon les informations de Perrine Martin avait précédé la reprise des investigations de la police dans la zone de disparition.

Jeudi 13 décembre, jour d’ouverture, la cave à fromages ne désemplit pas. Les Brûlonnais viennent faire les curieux et acheter leurs fromages.

Il faut dire que la boutique est attrayante, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. C’est Corinne Clerc qui accueille les clients avec sourire et professionnalisme.

Responsable dans la grande distribution pendant 11 ans 

J’ai toujours été dans les métiers de bouche, pendant 11 ans responsable dans la grande distribution d’un rayon charcuterie fromages et traiteur. 

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Un changement de vie 

Corinne Clerc n’a pas hésité à quitter la région parisienne pour venir vivre à Brûlon. « Je suis venue en août passer quelques jours et voir nos amis Cédric et Régine Arlot du coccimarket. L’emplacement était libre et Cédric nous dit qu’il y verrait bien une fromagère ! Brûlon nous a plu, la région est belle, j’ai accepté la proposition de Cédric ».

Des fromages variés et de qualité 

Suite à son expérience dans le secteur, Corinne a souhaité proposer une sélection de qualité et aussi variée. « Nous proposons des fromages fermiers au lait cru, affinés dans des modes traditionnels, de toutes les régions de France, à la coupe, des produits locaux, du saucisson d’Ardèche fait de porc breton et à la fleur naturelle, et du vin pour un mariage agréable. Je propose une gamme de fromages qui évoluera en fonction de la clientèle ».

Pratique : Ouvert du mercredi au dimanche.

L’école du numérique du sud Sarthe a été inaugurée lundi 17 décembre 2018 à La Chartre-sur-le-Loir. (©Le Petit Courrier – L’Echo de la Vallée du Loir)

Lundi 17 décembre 2018, l’Ecole du numérique du Sud Sarthe, l’Enssop, a été officiellement inaugurée.

Les 12 élèves de la première session de formation ont débuté les cours le 10 décembre, à la Maison des services de La Chartre-sur-le-Loir. 

Trois entreprises locales

Cette école est portée par Florent Tétart, responsable de l’innovation chez PMB Services, Raphaël Neve, responsable de Microtec, et Nicolas Mourier, responsable d’AP & SI. Le dirigeant de la SAS ENSSOP étant Eric Robert, le responsable de PMB Services.

A la base ? Un constat, résumé par Florent Tétart : 

Puisque nous n’arrivions pas à recruter dans nos entreprises des gens déjà formés à l’informatique, on a eu l’idée de les former ici, sur place. Le secteur du numérique est en forte croissance. Notre ambition est, via l’Enssop, de créer de l’emploi localement.

Grande Ecole du numérique

La communauté de communes Loir-Lucé-Bercé apporte son soutien logistique à l’école en mettant gracieusement à disposition la salle de formation.

Le lycée Nazareth, à Ruillé-sur-Loir, porte la formation pour permettre la délivrance du titre de développeur web.

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Enfin, l’Etat a labellisé ce centre de formation, Grande Ecole du numérique et débloqué 190 000 € d’aides financières.

A cela, s’ajoutent près de 60 000 € d’aides, attribuées par Pôle Emploi pour prendre en charge les frais des élèves.

Devenir développeur web

Du côté de ces derniers, après une première semaine de formation intense, les réactions sont unanimes. « C’est une chance qui nous a été offerte », assurent-ils.

Tous ont des parcours très différents : industrie, commerce, comptabilité … Avec un point commun : l’envie d’apprendre un nouveau métier.

Les cours sont très concrets, on est dans le vif du sujet tout de suite ! Là, on commence à apprendre le code.

La formation se terminera en septembre 2019. Et déjà, les futurs développeurs affichent le même objectif : rester en Vallée du Loir. « Pour ma part, je suis dans la région depuis deux ans, j’ai très envie de rester dans le coin. Merci de m’y aider », lance un des étudiants, en direction des créateurs de l’école.

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Cécile Grès, tenant ici le micro, va rejoindre l’équipe de France Télévisions. (©Wikimédia Commons)

France Télévisions cherchait un nouveau visage féminin pour sa rubrique rugby. La chaîne a trouvé son bonheur et l’a annoncé ce mardi 18 décembre 2018 avec l’arrivée de Cécile Grès.

Passée par la rubrique rugby du quotidien L’Equipe, Reuters ou la radio Le Mouv, cette jeune journaliste, originaire de la Corrèze, est bien connue des stades puisqu’elle officiait depuis 2015 sur les bords de terrain pour la chaîne Eurosport.

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Sur France Télévisions, elle poursuivra cette mission en assurant « notamment les interviews en bord de terrain ». Elle succède ainsi à Clémentine Sarlat, partie début octobre et actuellement sur BeIn Sports.

ANNONCE #média 🏉

Bienvenue à Cécile Grès qui rejoint l'équipe #rugby de @francetvsport

➡️ Elle assurera notamment les interviews en bord de terrain pic.twitter.com/QAa2PFVu62

— France tv sport PRO (@ftvsport_pro) December 18, 2018

Les Gilets jaunes bloquent complètement le rond-point de Pesneme à Cherbourg-en-Cotentin, mardi 18 décembre 2018. (©Thibault HOULETTE)

Va-t-on assister à une journée décisive, ce mardi 18 décembre 2018, pour les Gilets jaunes de Cherbourg ?

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Ce mardi matin, vers 9 heures, un premier « campement » de Gilets jaunes a été démantelé au rond-point de la gare maritime.

Une cinquantaine de Gilets jaunes s’est alors donné rendez-vous au rond-point de Penesme à quelques centaines de mètres, là où se situe leur « célèbre » QG.

La circulation est bloquée au rond-point de Pesneme

Inquiets d’être délogés dans les heures qui suivent par les forces de l’ordre, ils ont décidé de bloquer totalement la circulation à cet endroit.

Ils ont ainsi arrêté les poids lourds qui passaient et les ont fait stationner autour du rond-point.

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A midi, si la situation est calme, d’importants bouchons se sont formés. 

Les Gilets jaunes sont désormais dans l’attente.

Près de 600 personnes rassemblées dans les rues de Caen (Calvados), mardi 18 décembre 2018, pour défendre le pouvoir d’achat des retraités. (©MG/Liberté)

Près de 600 personnes ont participé mardi 18 décembre 2018 à une manifestation dédiée à défendre le pouvoir d’achat des retraités, dans les rues du centre-ville de Caen (Calvados). Quelques gilets jaunes se sont joints au cortège, pour faire gonfler les rangs de la mobilisation. Et apporter leur soutien en écho à des revendications communes.

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« Du racket pour les pauvres »

« Vous refusez de revenir sur l’Impôt de solidarité sur la fortune. Votre politique, c’est du racket pour les pauvres… des cadeaux pour les riches », a lancé Odile Le Disert, micro en main, au début de la manifestation. Pour cette membre du bureau de l’Union syndicale des retraités du Calvados, une répartition des richesses plus juste est nécessaire. « Comment Emmanuel Macron peut-il proposer 0,3 % d’augmentation pour les retraités alors que l’inflation est de 1,9% ? De l’argent il y en a ! »

Les manifestants se sont donnés rendez-vous sur la place Bouchard, avant d’emprunter la rue Saint-Pierre et de filer en direction de la préfecture. Nadine, 66 ans, habitante d’Epron, tenait à être là pour défendre son pouvoir d’achat : 

« Depuis six ans que j’ai fini ma carrière de fonctionnaire, ma retraite baisse. Quand je suis partie, j’étais à 1 500 € net et maintenant je suis à 1 253 € avec certes, ma mutuelle de payée pour 80 € qu’il fallait que je débourse auparavant. »

Comme de nombreux anciens fonctionnaires, elle demande la revalorisation du point d’indice depuis plusieurs années. Les retraités n’excluent pas de se mobiliser de nouveau dans les prochaines semaines.

A Forges-les-Eaux, les dons de la première  journée d’Octobre Rose ont été répartis en trois chèques en faveur d’associations de lutte contre le cancer. (©L’Eclaireur-La Dépêche)

les habitants du pays de Bray ne participent pas assez aux actions de dépistage. Un constat posé par le docteur Ahmed Benhammouda, le directeur médical de l’association de dépistage EMMA (Yvetot). Des propos tenus  lors de la remise trois chèques d’un même montant (470 € ont été remis à Philippe Rives président du Comité régional normand , à Gabrielle et Jean-Jacques Deshayes, représentants du comité de Neufchâtel-en-Bray de la Ligue contre le cancer

Le 13 octobre 2018, à l’initiative de Martine Bonino, adjointe au maire, Forges-les-Eaux organisait  la première édition d‘Octobre Rose.  Les associations sportives US Forges athlétisme , l’USF tennis  et le club d’escrime  y ont récolté la somme  de 1 410 €. Les sportifs ont participé bénévolement à cette journée en faveur de la recherche et du dépistage.

 Seulement 30 % de Brayons

Ahmed Benhammouda explique :

 Les Brayons ne participent pas assez aux actions de dépistage, notamment pour les cancers du sein et colorectaux. Dans ce milieu rural, le taux des habitants qui répondent aux invitations des professionnels de la santé n’est que de 30 % alors que dans les agglomérations comme celles de Rouen et du Havre il passe à 65 % .

Tout en rappelant l’importance du premier diagnostic suffisamment tôt dans le temps, le docteur a réaffirmé que « ces manifestations d’Octobre Rose sont un moyen de sensibiliser les gens, mais aussi de les inciter davantage à prendre soin de leur santé ».

Les petits ruisseaux font des grandes rivières

Martine Bonino a rappelé que « les petits ruisseaux font des grandes rivières » et qu’elle envisageait d’associer d’autres partenaires pour la seconde édition 2019, notamment le Lions Club local.

Le maire de Forges, Michel Lejeune, a conclu en reprenant les mots de Pierre de Coubertin « L’important, c’est de participer ! ».

Sur la première marche du podium Yiota (SVE) entourée à droite par Régis Cavillon et Alain Loisel et à gauche par Nadia Mezrar, Gwen Lefeuvre et Pascale Delobel. (©Le Journal d’Elbeuf)

Pour cette sixième édition du Prix des initiatives jeunes et citoyennes, organisé par l’association Citoyenneté Civisme et Partage, la Maison des Jeunes et de la Culture de la région d’Elbeuf a accueilli, jeudi 5 décembre 2018, les cinq groupes retenus et nominés par le jury après examen de leur projet.

Le jury était composé de Nadia Mezrar, conseillère départementale, Gwen Lefeuvre, président de Foncia, Régis Cavillon, président de la caisse locale du Crédit Agricole, Claude Vochelet, Alain Loisel, l’emblématique président de l’association Citoyenneté, Civisme et Partage ainsi que des représentants du cinéma Grand Mercure et de la société Aerazur.

Tous ont avoué « avoir eu beaucoup de mal à départager les candidats tant la qualité était au rendez-vous ».

Dans son mot de bienvenue, la directrice Pascale Delobel se réjouissait de recevoir « des jeunes qui n’ont pas peur de s’engager et qui veulent mener à terme un projet bien construit. À ce titre, il est normal qu’ils bénéficient d’un accompagnement, qui a toujours été la marque de fabrique de la MJC qui va bientôt fêter ses 60 printemps »

S’adressant aux lauréats, Alain Loisel, président de CCP, a affirmé : « Sans vous, il n’y aurait pas d’innovations ni d’avancées possibles. »

Rebondissant sur ces propos, c’est au nom du Département que la conseillère Nadia Mezrar, a relevé que « votre mérite à tous est d’avoir des valeurs pour vous guider dans vos projets. »

Nathan, Maxime et Mathias du CIs’jeunes de Tourville récompensés par un chèque de 100€. (entourés par Nadia Mezrar, Régis Cavillon et Alain Loisel). (©Le Journal d’Elbeuf)

« Je suis ravie d’avoir fait partie de ce jury et d’avoir pu découvrir vos projets respectifs remplis d’initiatives, qui ont du sens et qui touchaient à des domaines très différents. »

Il revenait ensuite à Regis Cavillonet et Gwen Lefeuvre d’appeler les cinq groupes nominés pour les remises de chèques.

Le groupe du Service volontaire européen, représenté par une ambassadrice grecque Yiota, qui a projeté à l’aide d’un jeu de favoriser la relation entre migrants et Elbeuviens, pour montrer la variété des cultures et aider la compréhension réciproque, a reçu un chèque de 400 € destiné à l’achat de matériel et de nourriture.

Les jeunes du centre de loisirs d’Orival, représenté par Clément Sanson, se voyaient eux, attribuer un chèque de 300 €, destiné à l’achat de matériel audiovisuel pour leur projet « Ouvre les yeux » consistant à sensibiliser les habitants de leur commune sur leurs mauvaises pratiques et la façon d’y remédier.

L’association Culture Loisirs et Sports de Tourville-la-Rivière, amenée par son infatigable coach Vincent Hebert et représentée par Nathan, Maxime et Mathias, recevait un chèque de 100 € pour son projet visant à remettre en place en 2019, le 21 juin, une fête de la musique avec tous les partenaires de la ville.

La structure ADIC TV de la MJC bénéficiait, elle, d’un chèque de 100 € réservé à l’achat d’un matériel son, pour son projet axé sur l’aide apportée aux jeunes dans leurs prises de paroles et leur apprentissage d’acteurs d’une Web Tv.

Enfin le groupe de la MJC Vers de Seine représenté pour la circonstance par Alice Lihrmann, coordinatrice de la Fabrique d’initiatives citoyennes, voyait son projet de conservation et de protection de la nature par la sensibilisation, récompensé par un chèque de 100 € réservé à l’achat de matériels divers.

Clément Sanson qui représentait les jeunes du centre de loisirs d’Orival a reçu un chèque de 300 € (©Le Journal d’Elbeuf)