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Noirmoutier : travaux d'urgence avant les grandes marées

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Un agent est d'astreinte afin d'opérer la surveillance et déclencher les moyens d'urgence si nécessaire.

Un agent est d’astreinte afin d’opérer la surveillance et déclencher les moyens d’urgence si nécessaire. (©Facebook / communauté de communes de Noirmoutier)

Lundi 9 mars dans l’après-midi, la Communauté de Communes a été prévenu d’un important dégât d’ouvrage par l’ASA des Dunes du Vieil (association syndicale autorisée), propriétaire du perré de la Clère.

A partir de 20 h, via son service Gestion du littoral, la Communauté de Communes, interviendra à marée descendante.

Le but étant de contenir le phénomène et d’assurer la sécurité de l’ouvrage ainsi que celle des habitations à l’arrière.

La dune est clairement abîmée et semble en partie s’effondrer.

Lire aussi : Des rues fermées à cause des inondations à Noirmoutier

Un agent est d’astreinte afin d’opérer la surveillance et déclencher les moyens d’urgence si nécessaire.


Sarthe. La conductrice roulait à 161 km/h sur l'autoroute A81

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La conductrice a été contrôlé sur l'A81 au niveau de Saint-Denis-d’Orques (Photo d'illustration

La conductrice a été contrôlé sur l’A81 au niveau de Saint-Denis-d’Orques (Photo d’illustration (©©Les Nouvelles de Sablé / Maxime Davoust)

Une conductrice a été contrôlée en excès de vitesse par les gendarmes, le samedi 7 mars, sur l’autoroute A81 au niveau de Saint-Denis-d’Orques (Sarthe).

Vers 16 h 35, elle a été interceptée par les forces de l’ordre. Elle roulait à 161 km/h au lieu de 110 km/h.

Lire aussi : Sarthe. Vitesse, alcool et drogue : un motard intercepté par les gendarmes

Par conséquent, elle a perdu son permis de conduire et son véhicule qui lui ont été retirés.

Municipales 2020. Un agriculteur, jeune retraité, tête de liste à Hénanbihen

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a liste de Jean-Michel Lebret : Hénanbihen notre avenir ensemble.

a liste de Jean-Michel Lebret : Hénanbihen notre avenir ensemble. (©Le Penthièvre)

Après la liste de Régis Meffre Continuer et évoluer pour Hénanbihen, c’est celle de Jean-Michel Lebret, Hénanbihen notre avenir ensemble, qui a été présentée à la population. Il y a donc deux listes pour les municipales 2020 à Hénanbihen

Qui est Jean-Michel Lebret ? À 64 ans, l’agriculteur est  jeune retraité,

« J’ai toujours vécu à Hénanbihen et très vite je me suis investi tant dans la vie professionnelle qu’associative ici à dans la commune ».

Il poursuit : « Avec l’équipe motivée, forte de parcours différents, qui sera à l’écoute de la population et de ses besoins, nous voulons garder et développer les services, commerces et autres activités pour une commune attractive ». 

La liste

Jacqueline Abbé, 54 ans, aide soignante. Ludovic Chmielewski, 41 ans, cadre de banque. Catherine Cordon, 59 ans, chargée de clientèle banque. Aurélie Courcoux, 33 ans, comptable. Yves Crinon, 64 ans retraité. Jean-Michel Daniel, 50 ans, technicien d’élevage. Anne Durand, 48 ans, vendeuse. Mehmed Dizdarevic, 57 ans, technicien maintenance. Joseph Gauthier, 66 ans, retraité. Claudine Hingant, 68 ans, retraitée. Daniel Houzé, 72 ans, retraité. Gildas Le Brun, 64 ans, retraité. Isabelle Leforestier, 49 ans, aide à domicile et agent immobilier indépendant. Éliane Thévenin, 38 ans, éducatrice spécialisée.

Lire aussi : Municipales 2020. Il y a deux listes à Hénanbihen, dont celle de Régis Meffre

Coronavirus en Normandie : deux nouveaux cas en Seine-Maritime et un autre dans l'Eure

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Trois nouveaux cas de personnes atteintes du coronavirus en Normandie ont été recensés entre dimanche 8 et lundi 9 mars 2020.

Trois nouveaux cas de personnes atteintes du coronavirus en Normandie ont été recensés entre dimanche 8 et lundi 9 mars 2020. (©Illustration Adobe stock)

Trois nouvelles personnes ont été détectées positives au coronavirus en NormandieL’Agence Régionale de Santé Normandie l’a annoncé dans son « point de situation », publié en fin de journée, lundi 9 mars 2020. Depuis le vendredi 28 février, 25 personnes ont ainsi été déclarées positives dans quatre départements de la région et une personne est décédée samedi 7 mars à Saint-Aubin-lès-Elbeuf.

Lire aussi : Coronavirus : deux nouveaux décès en France, 21 morts depuis le début de l’épidémie

Deux nouveaux cas en Seine-Maritime et un dans l’Eure

L’ARS a détaillé les chiffres en fonction des zones géographiques concernées. La Seine-Maritime reste le département le plus touché en Normandie, on dénombre au total dix personnes testées positives, dont deux nouveaux cas par rapport au dernier bilan établi dimanche 8 mars. Vient ensuite le département de l’Eure avec sept cas répertoriés soit un de plus que dimanche, puis la Manche (six cas) et le Calvados (deux cas). 

L’ARS indique en outre : « à ce stade, l’état de santé des personnes prises en charge n’est pas préoccupant. » 

Lire aussi : Coronavirus : en contact avec des personnes contaminées, un couple raconte son confinement

La grande majorité des personnes (22) infectées par « le virus est prise en charge à domicile, deux personnes sont hospitalisées au CH de Saint-Lô et une autre au CHU de Caen. « 

De nombreuses manifestations ou concerts annulés

En Normandie comme ailleurs en France les nouvelles mesures de restriction ont entraîné ce lundi l’annonce d’annulation ou report de nombreuses manifestations. C’est le cas à Mortagne au Perche, dans l’Orne où la célèbre foire au boudin qui devait avoir lieu le week-end prochain devait réunir quelque 18 000 personnes sur trois jours. 

À Caen (Calvados), Rouen, Le Havre mais aussi dans la Manche, de nombreux concerts et spectacles ou événements sportifs ont été annulés ou reportés. 

Lire aussi : Coronavirus. Spectacle annulé ou reporté à Caen, comment se faire rembourser ?

Et bien évidemment de nombreuses entreprises notamment dans le secteur de l’événementiel subissent déjà les conséquences de ces annulations. 

Lire aussi : Coronavirus : à Caen, l’entreprise NXP annonce une perte minimale de 50 millions de dollars

Yvelines. Un Irlandais du Nord radié à tort des listes électorales

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Ronan O'Neill, radié des listes électorales suite au Brexit, pourra bien voter le 15 mars prochain.

Ronan O’Neill, radié des listes électorales suite au Brexit, pourra bien voter le 15 mars prochain. Sur son ancienne carte d’électeur, la nationalité irlandaise est clairement indiquée.

Dans les années 1950, il a manifesté aux côtés de son père pour l’organisation d’élections dans la colonie britannique qui allait devenir le Ghana, puis dans les années 1960 pour les droits des noirs en Afrique du Sud. De retour, en Irlande du Nord, il réclame l’égalité de droit de vote pour les catholiques. « Aujourd’hui, c’est la quatrième fois que je dois défendre le droit de vote », explique Ronan O’Neill à la présidente du tribunal de proximité de Rambouillet. Et de lui répondre, « Je vois que c’est un combat qui vous tient à cœur. »

L’Insee mis en cause

Tout commence le 20 février dernier. Ronan O’Neill assiste à la réunion de la commission de contrôle des listes électorales, à Senlisse, petit village de la vallée de Chevreuse (Yvelines). Stupeur. Il y apprend qu’il a été radié et qu’il ne pourra donc pas voter lors du scrutin municipal du 15 mars. « Quand j’ai demandé la raison, il m’a été répondu que mon nom apparaît sur les listes de l’Insee (l’Institut national de la statistique et des études économiques) comme ayant la nationalité britannique comme je suis né à Belfast, en Irlande du Nord », explique-t-il.

Selon le nouveau registre électoral national unique (mis à jour par l’Insee), les personnes nées en Irlande du Nord doivent être traitées comme Britanniques. Ainsi, après le Brexit, ils ne peuvent plus voter aux élections européennes ou municipales en France.

Inadmissible pour Ronan O’Neill. « Bien que j’aie la nationalité irlandaise, j’ai également la nationalité britannique comme tous les citoyens d’Irlande du Nord nés avant 1999, et ce, comme en atteste la constitution irlandaise, et la constitution britannique suite à l’Accord de paix pour l’Irlande du Nord du 10 avril 1998 », indique-t-il.

La reconnaissance du droit pour chacun en Irlande du Nord de s’identifier et d’être accepté en tant qu’Irlandais, ou Britannique, ou les deux ».

Selon le site Internet touteleurope, l’accord du Vendredi saint prévoit, outre le désarmement de l’IRA, « la reconnaissance du droit pour chacun en Irlande du Nord de s’identifier et d’être accepté en tant qu’Irlandais, ou Britannique, ou les deux ». Un principe à nouveau reconnu par la commission européenne, soutenue par le gouvernement français, en 2017.

Sûr de son fait, l’Irlandais a décidé de porter son affaire en justice.

Ce matin, l’audience au tribunal de proximité de Rambouillet n’a pas été longue pour donner raison à Ronan O’Neill. « La préfecture confirme que cette radiation ne tient pas compte de votre double nationalité. Vous n’auriez pas dû être radié », a déclaré la présidente. Qui lui a immédiatement remis le jugement le réintégrant sur les listes électorales. Une copie a également été envoyée à la mairie de Senlisse et à l’Insee. S’il s’avoue « soulagé » par cette décision, Ronan O’Neill reste « préoccupé ». « Nous sommes plusieurs centaines, voire des milliers d’Irlandais, résidant en France. Nous avons besoin d’aide pour mettre en évidence cette question qui crée un précédent très dangereux en Europe », estime-t-il.

D’autres cas d’Irlandais du Nord radiés des listes électorales devraient, en effet, se présenter le 15 mars pour voter. Ils auront toujours la possibilité de saisir immédiatement les tribunaux où des magistrats seront présents.

 

                                                             La réponse de l’Insee
« Le Brexit a eu pour conséquence de retirer le droit électoral aux citoyens britanniques des états membres de l’Union Européenne.
En tant que gestionnaire du répertoire électoral unique (REU), l’Insee a eu instruction du ministère de l’Intérieur de procéder à la radiation de tout citoyen de nationalité britannique.
Pour procéder à ces radiations, l’Insee s’est appuyé sur la nationalité indiquée dans le REU pour chacun des électeurs et a radié les électeurs pour lesquelles cette variable nationalité était renseignée à « Britannique ». À noter que dans le REU, une seule nationalité peut être renseignée.
La nationalité de l’électeur est une information renseignée par les communes (ou l’électeur lorsqu’il s’agit d’une demande d’inscription effectuée en ligne) au vu des justificatifs fournis. L’Insee n’intervient pas du tout dans la prise en compte d’une inscription et les informations contenues au REU sont celles issues de ce processus d’inscription qui relève de la responsabilité du maire de la commune.
Si des personnes considèrent avoir été radiées à tort, car possédant une double nationalité, désormais, la seule possibilité qui s’offre à ces personnes, si elles souhaitent participer au scrutin municipal, est de faire une démarche auprès du tribunal judiciaire. Si le tribunal demande une réinscription de cette personne avec comme nationalité « irlandais », il pourra voter et le REU sera corrigé car toutes les décisions des tribunaux sont transmises à l’Insee pour modification du REU. »

Coronavirus : 25 morts, 1412 cas... Le point sur la situation en France

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BLABLA personnes sont contaminées en France par la coronavirus

BLABLA personnes sont contaminées en France par le coronavirus (©Adobestock)

Le bilan du coronavirus s’est encore alourdi en France. Ce lundi 9 mars 2020, le ministère de la Santé a annoncé 286 nouveaux cas en France et quatre nouveaux décès liés au Covid-19. Ce qui porte à 1412 le nombre total de personnes contaminées et 25 le nombre de morts depuis le début de l’épidémie. 

Ce lundi, deux personnes supplémentaires sont décédées, en Corse et Auvergne-Rhône-Alpes.

Les victimes sont toutes âgées de plus de 60 ans et/ou atteintes d’autres pathologies qui les fragilisaient.

L’Oise est le département le plus touché avec neuf décès recensés. Deux personnes ont succombé à la maladie samedi 7 et dimanche 8 mars.

Un nouveau regroupement de cas a été identifié en Corse. 

Bientôt le stade 3 ?

Pour le moment, le stade 2 est toujours maintenu dans l’Hexagone. Le stade 3 correspond à l’épidémie constatée au plan national et ne vise donc plus à enrayer la propagation du virus mais à en atténuer les conséquences. Il prévoit la mobilisation de tous les secteurs de soin et la mobilisation de tous les professionnels de santé, y compris la « réserve sanitaire », comme des médecins retraités sur la base du volontariat.

« Il demeure de nombreuses incertitudes sur l’évolution du virus », souligne Jérôme Salomon, directeur général de la Santé. 

Match PSG-Dortmund à huis clos 

Cependant, les autorités ont pris des mesures drastiques pour éviter la contagion. Auparavant, seuls les rassemblements de plus de 5 000 personnes étaient interdits, à présent, tous ceux de plus de 1 000 personnes sont concernés, en plein air et en milieu clos (soit une grande majorité de concerts, spectacles, salons événementiels, rassemblements sportifs…). « Les événements considérés comme utiles à la vie de la nation seront maintenus », précisent les autorités. Cette mesure s’ajouter à la fermeture de tous les établissements scolaires et crèches dans les endroits les plus touchés. 

Conséquences immédiates : le match de Ligue des champions PSG-Dortmund mercredi se déroulera à huis clos au Parc des princes, sur décision du préfet de police, et la rencontre de rugby France-Irlande prévue samedi au Stade de France a été reportée, selon des sources concordantes.

Les plans blanc et bleu activés au cas par cas

Par précaution, les visites des moins de 15 ans ont été interdites depuis la fin de semaine dernière dans les maisons de retraite et, plus largement, dans les établissements de santé, les visites sont limitées à une personne par patient et les malades priés de s’abstenir.

À ce stade, les dispositifs d’urgence, « plan blanc » pour les hôpitaux, « plan bleu » pour les Ehpad, ne sont activés qu’au cas par cas, sur décision des directeurs d’établissement en concertation avec la Direction générale de la Santé.

« En anticipation des besoins à venir, la réserve sanitaire est mobilisée par les Agences Régionales de Santé qui en font la demande, en renfort des établissements de santé », souligne le ministère de la Santé. Un décret va également permettre de déplafonner les heures supplémentaires pour les professionnels de santé à l’hôpital.

L’accès à la téléconsultation a également été facilité. 

« Mobilisons-nsou tous ensemble, c’est le meilleur moyen de lutter contre la maladie », martèle Jérôme Salomon. 

Et à l’étranger ?
Dans le monde, plus de 111 000 personnes ont été contaminées, pour 3892 décès. 62 000 personnes guéries. La France est le cinquième pays dans le monde le plus affecté après la Chine, la Corée du Sud, l’Italie et l’Iran. En tout, 102 pays sont touchés.

Les élections municipales maintenues

Les élections municipales, dont le premier tour aura lieu dimanche 15 mars, sont pour le moment toujours maintenues. Mais 16% des électeurs se disent « certains » de ne pas aller voter à cause du virus et 12% pensent que c’est « probable », soit 6 à 8 millions d’électeurs, rapporte un sondage Ifop publié lundi sur l’impact du coronavirus (sondage en ligne du 5 mars auprès de 1 008 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus).

Remboursement gratuit des billets de train

La SNCF a pris la décision de rendre gratuits les frais d’échanges et de remboursements des billets de train. Les voyageurs auront jusqu’au 30 avril pour en faire la demande. 

Cette mesure s’applique sur les billets du 9 mars au 30 avril inclus de « TGV Inoui, Intercités, Ouigo » et « TER en correspondance », précise la SNCF dans un communiqué, « au départ du train et sur l’ensemble des canaux de vente » (guichets, bornes automatiques, site internet de la SNCF ou des agences de voyage, et application mobile).

Avec AFP

Coronavirus : un deuxième mort en Lorraine, le point sur la situation dans le Grand Est

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On compte désormais 310 cas pour quatre décès liés au coronavirus dans le Grand Est.

On compte désormais 310 cas pour quatre décès liés au coronavirus dans le Grand Est. (©Pixabay)

Il y a désormais quatre décès liés au coronavirus dans le Grand Est. Selon le dernier bilan de l’Agence régionale de santé (ARS) publié lundi 9 mars 2020 dans la soirée, une femme de 94 ans originaire des Vosges est décédée.

Lire aussi : Coronavirus : le nombre de cas grimpe à 43 en Lorraine, trois morts dans le Grand Est

310 cas avérés

Le nombre de cas, quant à lui, continue d’augmenter : le Grand Est compte désormais 310 infectés. L’ARS précise que la plupart d’entre eux « sont reliés au foyer épidémique en lien avec la Semaine de Carême de l’église La Porte-Nouvelle-Chrétienne de Bourtzwiller (Haut-Rhin) ».

Dans le détail, selon l’ARS, la région compte actuellement « 5 cas dans la Marne, 1 cas dans l’Aube, 1 cas en Haute-Marne, 1 cas dans les Ardennes, 3 cas dans la Meuse, 11 cas en Meurthe-et-Moselle, 22 cas en Moselle, 17 cas dans les Vosges, 53 cas dans le Bas-Rhin et 193 dans le Haut-Rhin », ainsi que « 3 cas originaires de l’Aisne ».

Le Grand Est reste l’une des régions les plus touchées du pays et représente une part conséquente des personnes infectées en France. Selon le dernier bilan officiel au niveau national, 1 412 cas et 25 décès avaient été recensés.

Lire aussi : Coronavirus : deux premiers décès et 250 cas dans le Grand Est, région la plus touchée

Elections municipales. David Mongin veut sauver le parc de Chépy

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David Mongin veut être un maire proche de ses administrés.

David Mongin veut être un maire proche de ses administrés. (©L’éclaireur)

Il l’assure : son programme a entièrement été réalisé avec les idées des habitants de Chépy et c’est ce qu’il qualifie comme étant sa force.

Je me suis rendu auprès de mes voisins pour connaître leurs besoins. J’ai repris 90 % de leurs idées.

Depuis six ans, David Mongin prépare sa campagne. Parmi ces propositions de campagne : la propreté. Car pour lui, Chépy est « sale ». « Avant, notre commune était fleurie. C’était très mignon ici. Les pelouses étaient entretenues. Aujourd’hui, plus rien. En tant que maire, si je dois mettre les mains dans la terre pour que Chepy redevienne ce qu’elle était, alors je le ferai. »

Création d’un grill house

Le programme du candidat s’articule sur l’aide à la personne. Par exemple, David Mongin propose la création d’un service de communication en cas de canicule et de grand froid. Ainsi, matin et soir, les agents communaux seront chargés de contacter les seniors, voire de se déplacer, pour s’assurer de leur bien-être.

Le candidat confirme qu’il n’y aura pas de dépenses supplémentaires.

Ça ne coûte aucun argent. Je vais juste redéfinir les missions des employés communaux.

Autre point important pour le candidat : la sécurité.

On ne peut pas jouer avec la sécurité, notamment de nos enfants. 

S’il est élu, David Mongin s’engage à revoir les horaires de l’éclairage public, qu’il juge en décalage avec la tombée de la nuit. Un « grill house », (en français dalle engazonnée), c’est-à-dire une grille posée sur la pelouse, sera mis en place pour permettre aux voitures de s’y garer lors de la sortie de l’école. « Les enfants doivent traverser pour rejoindre leurs parents. Mais avec cette création de parking, ils n’ont plus besoin de le faire. Ils seront déjà du bon côté de la route. Et ces grilles sont entièrement conçues pour ne pas abîmer la pelouse. »

Mais surtout David Mongin refuse la destruction du parc au profit de logements. C’est d’ailleurs sur ce point qu’il mène campagne. « L’opposition veut le détruire. Nous, on veut davantage l’exploiter avec l’installation d’une aire de jeux, de tables de pique-nique, des barbecues. On veut que Chépy retrouve son dynamisme d’autrefois. »

David Mongin brigue la mairie pour la troisième fois. L’homme originaire d’Abbeville est tombé amoureux de ce village alors qu’il y était en visite pour une brocante. Aujourd’hui, il le dit : « Chépy, c’est chez lui. »


Inondations à Elbeuf. L'eau va continuer de monter cette nuit et mardi

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Le département de la Seine-Maritime et l'agglo d'Elbeuf sont en vigilance orange inondations pour le tronçon Seine Aval, indique les services de la Préfecture. (Photo d'archives)

Le département de la Seine-Maritime et l’agglo d’Elbeuf sont en vigilance orange inondations pour le tronçon Seine Aval, indique les services de la Préfecture. (Photo d’archives) (© Le Journal d’Elbeuf)

Le département de la Seine-Maritime est en vigilance orange inondations en raison de fortes conditions météorologiques favorisant l’augmentation du niveau de la Seine. Des débordements sont à prévoir dans l’agglomération d’Elbeuf, mardi 10 et mercredi 11 mars 2020. La Préfecture de Seine-Maritime a annoncé, lundi 9 mars, le niveau orange inondations pour le tronçon Seine-Aval et jaune inondations pour le tronçon Epte.

Concrètement, la Seine va à nouveau sortir de son lit dans les prochains jours dans l’agglo d’Elbeuf, en raison de conditions climatiques violentes qui stimulent deux autres facteurs : le débit du fleuve et le coefficient de marée. François Bellouard, directeur adjoint de la Direction départementale terre et mer décrypte ces phénomènes.

Est-ce qu’il y a un risque d’inondation et quand ?

Il y a déjà aujourd’hui, sur le secteur d’Elbeuf, des débordements. On a sur chacune de nos rivières, sur le secteur d’Elbeuf, des cartes ZIP (zones d’inondations potentielles) et en fonction de la hauteur d’eau, qui est attendue, on a des cartographies qui sont identifiées.

À partir de dix mètres d’eau à la boucle d’Elbeuf, cela va déborder de telle ou telle manière. Ces cartes zip sont transmises aux collectivités par le biais de la Préfecture, pour qu’elle puisse en tenir compte en matière de gestion de crise.

Elles vont pouvoir dire, cette espace-là va être inondé donc on va fermer la route, ce quartier se trouve dans une zone inondables donc il faut prévenir les habitants et ce qu’il va les concerner. La première carte zip qu’on a sur la boucle d’Elbeuf, c’est quand on a une hauteur d’eau prévisionnelle à 9,84 m. Ensuite, on en a une à 10, 20 m, 10,75 m. Cela monte jusqu’à 12,25 m. Sur Elbeuf, c’est très large.

Comment s’expliquent ces variations ?

9,84 m, ce sont les premiers débordements que l’on rencontre. Si on prend l’historique des pluies, des crues des plus hautes connues sur le secteur d’Elbeuf, la plus haute connue est celle de 1910 à 12,25 m. C’est monté très haut, plus de deux mètres au-dessus des débordements.

Que vit-on ces jours-ci ?

Pour donner une idée, lundi après-midi, on est monté à 10,25 m. On est passé 40 centimètres au-dessus des premiers débordements mais on est très loin de la crue la plus haute connue et loin de ce que l’on a connu il y a deux ans.

Février 2018, on était à onze mètres. Par contre, on est plus haut que ce que l’on a connu le mois dernier. Cela n’a quasiment pas débordé sur la boucle d’Elbeuf

À quoi est-ce dû ?

Sur la Seine, il y a des phénomènes importants : le débit du fleuve, la quantité d’eau qui arrive depuis l’amont, les marées et les conditions météorologiques en mer, surcote marine et les vents. Quand il y a une dépression en mer, l’eau de la mer monte. Quand il y a du vent, cela pousse la mer dans la Seine. Donc, si on a une dépression et du vent, cela augmente le niveau d’eau dans la Seine.

Et plus on remonte en amont, plus on s’approche du barrage de Poses, plus c’est le débit qui compte et la marée. À Elbeuf, c’est d’abord le débit qui compte. Il y a un mois, le débit était modéré, il était de 1 200 m3/seconde à Vernon. Il y a deux ans, il était de 2 200 m3/seconde.

C’est pour cela que c’est monté très haut, il y a deux ans. En 1910, c’était encore plus élevé que cela.

Et aujourd’hui lundi 9 mars 2020 ?

Et là, on est à environ 1 700 m3/seconde, environ. On est sur un gros débit, ce qui explique qu’on est plus élevé qu’en février 2018. Le débit continue à monter, doucement mais sûrement dans les jours qui viennent. Le débit de la Seine continue à monter tranquillement sur le secteur.

Avec le débit qui monte et les coefficients des marées qui continuent à monter, lundi 9 mars, on est autour de 100. Et le coefficient de marée va monter à 116, 117 mercredi. On a les valeurs de quatre marées successives, les hauteurs prévisionnelles jusqu’à la nuit de mardi 10 mars à mercredi 11 mars. […] Et potentiellement, cette nuit, on est sur les mêmes valeurs. Mardi après-midi, on est sur 10,45 m, en valeur moyenne, soit 20 centimètres au-dessus que lundi 9 mars. La nuit prochaine, cela devrait augmenter.

On est plutôt dans une tendance à la hausse. Cela va dépendre de ce qui va se passer en mer mais cela pourrait être un peu plus haut mais je ne peux pas me prononcer. Demain mardi 10 mars, sera le moment clé pour savoir ce qu’il va se passer mercredi 11 mars.

Comment faire pour connaître ces informations ?

Il faut que les habitants regardent le site Internet Vigicrues, le service d’information sur le risque de crues des principaux cours d’eau en France du Ministère de la transition écologique et solidaire, où sur la boucle d’Elbeuf, se trouvent trois points qui peuvent être regardés : Oissel, Elbeuf, Pont-de-l’Arche, l’entrée, le milieu et la sortie. Et en temps réel, la hauteur d’eau est renseignée et le prévisionnel des quatre marées à venir. Ces informations seront actualisées demain matin, en ajoutant les deux autres marées suivantes.

Cet après-midi, on a relayé aux collectivités les cartes de zip sur Elbeuf, pour les hauteurs de 10,20 m et 10,67 m, le haut de la fourchette que l’on a recensé, si jamais cela va jusqu’en haut. Et ils connaissent ainsi toutes les zones inondées par la Seine et les zones où on a des remontées de nappes. La nappe se remplit et cela déborde.

Les mairies de toute la boucle sont informées, depuis Pîtres jusqu’à Tourville-la-Rivière, Oissel on a des cartes zip pour ces hauteurs d’eau, des routes qui vont être inondées, potentiellement inondées, les lotissements susceptibles d’être concernés par les inondations. Les mairies ont un plan communal de sauvegarde qu’elles mettent en œuvre en fonction des informations communiquées par la Préfecture [de Seine-Maritime].

Val-d'Oise. Le conducteur d'un scooter dans un état grave à la suite d'une collision avec un utilitaire à Arnouville

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La victime a été transportée en urgence à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.

La victime a été transportée en urgence à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. (©Illustration/T.H.)

C’est dans un état jugé grave par les secours qu’un homme de 44 ans a été hospitalisé, dimanche 8 mars 2020, à la suite d’un accident de la route, à Arnouville (Val-d’Oise).

Vers 19h30, le scootériste qui circulait sur la rue Jean-Jaurés est entré en collision avec un utilitaire dans des circonstances que l’enquête de police doit déterminer.

Hospitalisé à La Pitié-Salpêtrière

Les pompiers et les médecins du Samu ont prodigué les premiers soins à la victime sur place avant de l’évacuer en urgence absolue au centre hospitalier de La Pitié-Salpêtrière, à Paris.

Le trafic du RER E fortement perturbé à cause d'un incident à Gagny

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Un train sur trois est prévu sur le RER E

Le trafic est fortement perturbé ce mardi 10 mars 2020 à cause d’un incident affectant les voies à Gagny (Seine-Saint-Denis). (©Maëlys Dolbois/ Actu Seine-Saint-Denis)

C’est dans un premier temps, la présence de personnes sur les voies, aux abords de Gagny (Seine-Saint-Denis) qui a impacté le trafic du RER E ce mardi 10 mars 2020.

Lire aussi : RER A. Une panne entre gare de Lyon et Châtelet perturbe le trafic

Puis après un retour à la normale de quelques minutes, le trafic est de nouveau fortement perturbé sur l’axe Haussmann-Chelles suite à un incident affectant les voies à Gagny.  Selon la SNCF, le trafic devrait rester perturbé jusqu’à 11h30.

Une réunion d'information sur un projet d'école des métiers du numérique à Pont-Audemer mercredi 11 mars

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Sitapha Dia, directeur de la Normandie Web shool

Sitapha Dia, directeur de la Normandie Web school, entend répondre aux défis posés par la « transformation numérique » de la société (© Normandie Web school).

La Normandie Web School (NWS), « l’école normande des métiers du numérique » actuellement implantée à Petit-Quevilly (Seine-Maritime), a pour projet de s’installer à Pont-Audemer (Eure) à la rentrée 2020. Nous avons posé à ce sujet trois questions à Sitapha Dia, directeur de cette école, avant la tenue d’une réunion d’information sur l’ouverture possible de cette antenne, ce mercredi 11 mars à la pépinière d’entreprises La Cartonnerie.

 

L’Eveil : Quel est le contenu de votre projet à Pont-Audemer ?

Sitapha Dia : « Nous avons pour ambition de proposer deux parcours à Pont-Audemer. D’une part, un Bachelor en 3 ans de Chef de projet, certifié par l’Etat. L’étudiant intégrera le cursus après le baccalauréat, [avec une première année de tronc commun]. L’étudiant pourra effectuer sa deuxième année en alternance ; la troisième année étant obligatoirement en alternance. Le second parcours sera une formation de « concepteur numérique ». Cette formation de 6 mois permettra, à ceux qui la feront, d’être autonome pour les compétences de bases de la communication numérique. Cette formation sera référencée sur « Carif Oref », c’est-à-dire qu’elle pourra être financée pour les demandeurs d’emploi. »

 

Votre école forme aux métiers du web, appelés aussi métiers du numérique. Quels sont ces métiers ?

« Les métiers du numérique évoluent très vite et, comme dans toute révolution industrielle, des métiers disparaissent et d’autres apparaissent, mais surtout les métiers se transforment. Dans un contexte où 50 % des métiers que nous connaissons aujourd’hui sont amenés à disparaître d’ici 2030, la transformation numérique pose de sérieux défis en termes de réorganisation interne des entreprises et de formation professionnelle. Que vous soyez chef d’entreprise, chef de projet digital, développeur web et mobile, web-designer ou encore web-marketer, vous faites face à ces évolutions. C’est pour cela que la Normandie Web school a été créée : pour permettre d’anticiper ces futures évolutions. »

Lire aussi : Nouveau. Normandie Web School, une école du numérique dans l’agglo de Rouen

Pourquoi cette envie de vous installer à Pont-Audemer et quelles seront les conditions d’admission à ce que vous proposerez ici, si votre projet voit le jour ?

« On a des demandes provenant de la région de Pont-Audemer mais aussi pour certains, des problèmes de mobilité. On se dit que si les étudiants ne peuvent pas venir vers nous, nous nous devons d’aller vers eux. Quant aux conditions d’admission, ce sera sur dossier. Pour être complet, j’ajouterai que notre école est payante mais que nous étudions en ce moment tous les moyens de la rendre accessible à ceux qui souhaiteraient suivre les formations envisagées à Pont-Audemer. »

 

Pratique : La Normandie Web School (NWS) a ouvert ses portes en septembre 2017 à Seine Innopolis, au cœur des entreprises du numérique, en intégrant une promotion d’année 1 et une promotion d’année 3 en spécialisation Marketing Digital. La NWS c’est aujourd’hui 130 étudiants, deux promotions diplômées et plus de 100 entreprises qui intègrent ses alternants. L’école compte faire sa rentrée à Pont-Audemer le 12 octobre 2020. Les frais de scolarité pour une année complète sont actuellement de 5 300 € par an. Le directeur de la NWS et son personnel enseignant proposent de faire découvrir cette école et de répondre à toutes vos questions lors de la réunion d’information prévue ce mercredi 11 mars à partir de 16 h à La Cartonnerie, 163, rue du Canal à Pont-Audemer.

 

 

Le camping de Pluméliau-Bieuzy labellisé hébergement pêche

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Le Clos du Blavet labellisé hébergement pêche.

Cette officialisation s’est déroulée sur le site du camping en présence de Franck et Sylvie, et d’Yvon Le Clainche, chargé de développement à la fédération de pêche, Michel Le Brustiec, président de la Gaule Melrandaise, vice président de la fédération départementale de pêche et d’Emilie Sirgant, directrice de Centre Morbihan Tourisme.. (©La Gazette du Centre Morbihan)

Le camping Le Clos du Blavet, situé à La Couarde sur la commune de Pluméliau-Bieuzy, vient de franchir une nouvelle étape en étant labellisé hébergement pêche.

Le site du Clos du Blavet, très apprécié des randonneurs, est réputé pour son charme dans ce lieu très renommé proche de St Nicolas des Eaux. Déjà très connu pour son parcours pêche et son hébergement, le Clos du Blavet va désormais être équipé d’un local doté de vestiaires, d’un réfrigérateur et d’un vivier, pour les amateurs de pêche, leur permettant ainsi de ranger leurs matériels ainsi que leurs prises réalisées dans le Blavet.

Lire aussi : A St-Nicolas des Eaux dormez dans une cabane « Pod »

Coronavirus. École fermée à Biéville-Beuville : "Le groupe de personnes touché est bien identifié"

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Le maire vino

Le maire de Biéville-Beuville près de Caen (Calvados), s’exprime sur la situation de sa commune, touchée par plusieurs cas de coronavirus, ce mardi 10 mars 2020. (©Liberté Caen)

« Tout est sous contrôle », tient à rassurer le maire de Biévile-Beuville, Dominique Vinot-Battistoni, près de Caen (Calvados). Depuis ce mardi 10 mars 2020, l’école de la commune est fermée sur décision préfectorale, après que plusieurs cas de coronavirus ont été contractés dans la commune. Aucun cas chez les enfants n’est à ce jour connu. Mais le groupe scolaire restera fermé jusqu’à nouvel ordre, et au plus tard jusqu’au lundi 23 mars si les autorités le jugent nécessaires. 

Lundi 9 mars tard dans la soirée, la Préfecture du Calvados et l’ARS ont annoncé que 5 autres cas de Covid-19 ont été diagnostiqués, en lien avec celui signalé dimanche. Les 6 personnes ont participé à la même activité dans un club de gym de la commune quelques jours plus tôt. Elles sont désormais confinées chez elles et leur état de santé n’est pas jugé préoccupant.

Les jeunes inscrits ailleurs peuvent aller en cours

Présent ce lundi matin aux côté d’un représentant de la préfecture, du directeur de l’école et de deux gendarmes, le maire sortant, Dominique Vinot-Battistoni, est allé à la rencontre des parents. Outre la fermeture de l’école, « Je suis amené à prendre un arrêté municipal pour fermer toutes les salles de réunion, y compris la bibliothèque qui reçoit beaucoup de personnes, moins jeunes j’allais dire, et qui sont donc menacées par le virus. »

Tout est sous contrôle pour l’instant. C’est très centré, sur un lieu, avec un groupe de personnes bien identifiées. S’il y avait d’autres diffusions au-delà de ce groupe, le préfet serait amené à prendre d’autres initiatives. Et notamment ce qu’il n’a pas fait pour l’instant, c’est-à-dire bloquer les enfants de la commune qui sont dans des écoles ou collèges de communes voisines.

Lire aussi : Coronavirus. Près de Caen, 36 personnes confinées en attendant les résultats de leurs analyses

Réflexion sur l’organisation des municipales dimanche

Par ailleurs, l’élu réfléchit déjà à l’accueil des électeurs dimanche 15 mars pour le premier tour de l’élection municipale sur la commune. « Nous prenons des décisions pour préparer les bureaux de vote dimanche », annoncent-ils, sans les présenter pour l’instant. Les réunions publiques qui avaient été programmées par les deux listes sont annulées, en application de l’arrêté du préfet concernant les rassemblements de plus de 50 personnes.

Officiellement vendu, le Lys Noir restera à Granville

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Le Lys Noir est propulsé par 250 m² de voiles portées par deux mâts.

Le Lys Noir était en vente depuis le printemps 2019. (© Vedettes Jolie France)

Construit en 1914, le Lys Noir était la propriété des Vedettes Jolie France depuis six ans.

Lire aussi : Granville : le vieux gréement le Lys Noir est à vendre

À l’époque, Stéphanie et Pascal Blanchet – les patrons de la compagnie maritime privée qui assure les traversées entre Granville et Chausey – l’avaient acheté pour leur fille Emilia. Les précisions de Pascal Blanchet.

Cela devait lui permettre de se faire la main, mais rapidement, elle a préféré prendre une autre voie professionnelle. Résultat : pendant deux ans, nous avons géré l’activité du Lys Noir en plus du reste (liaisons quasi quotidiennes entre Granville et Chausey, balades commentées, tour de l’archipel des îles Chausey, sorties grandes marées, etc.). Seulement, avec le développement des Vedettes Jolie France, cela ne devenait plus possible, alors on a préféré vendre. »

« Un sentiment mitigé »

A l’heure où le Lys Noir s’apprête à changer de mains, Pascal Blanchet oscille entre fierté, satisfaction et regrets.

Je suis fier d’avoir écrit un petit chapitre avec ce bateau emblématique de Granville, qui est arrivé ici en 1973. D’un autre côté, j’aurais aimé que cette histoire puisse perdurer, car c’est un très beau bateau. Je voulais qu’il soit entre de bonnes mains. Pour cela, il était important de lui trouver quelqu’un de passionné. Le nouveau propriétaire est du milieu. Il saura l’entretenir, le faire naviguer, donc pour le Lys Noir, c’est une très bonne nouvelle. »

Au départ de Granville, des sorties à bord du Lys Noir sont proposées.

Le Lys Noir est propulsé par 250 m² de voiles portées par deux mâts. (© Vedettes Jolie France)

Le Lys Noir restera à Granville

Désormais, c’est Julien Nicol, 40 ans, qui reprend les rênes de ce yacht classique, l’un des derniers des années 1920.

Lire aussi : Granville : de nombreuses nouveautés au sein des Vedettes Jolie-France

Ce charpentier de marine traditionnelle était installé en Bretagne. Les précisions de ce passionné de mer, qui navigue depuis l’adolescence par plaisir et passion.

Je construisais et restaurais des bateaux en bois. Pour moi, c’est une nouvelle aventure. Certes, je suis l’initiateur du projet, je vais assurer la gestion du Lys Noir en tant que président de l’association, je naviguerai à son bord, mais je ne serai pas tout seul. »

L’association Lys Noir sera, elle aussi, reprise.

Granville restera son port d’attache. Il n’est pas question que ça change. Par contre, il va naviguer beaucoup plus, et pas seulement durant la saison estivale. »

Le somptieux Lys noir, construit en 1914, arrivera de Cherbourg.

Le Lys Noir, un vieux gréement d’exception qui a été construit en 1914. (© FCM)

De nombreux projets en tête

Dès le 3 avril 2020, ce bateau d’intérêt patrimonial (BIP) va reprendre du service. Direction les côtes bretonnes.

Le Lys Noir fera le Tour de Bretagne et naviguera en Bretagne-Sud et en Loire-Atlantique, avant d’enchaîner par les fêtes maritimes de Brest (Finistère) et de Douarnenez (Finistère). Il ne reviendra à Granville que début août 2020. Le Lys Noir sera présent pour le Festival des Voiles de Travail (du 19 au 23 août 2020), puis il proposera des sorties à Chausey et dans la Baie de Granville en deuxième partie de saison. »

Parmi les projets à l’étude : la mise en place de partenariats avec la Ville de Granville, le Département de la Manche et la Région Normandie. Les précisions du capitaine, mi-Normand, mi-Bourguignon.

Ce que nous comptons faire, c’est augmenter le nombre d’activités du Lys Noir. Nous voulons donner plus de place au social, par le biais de stages et de croisières avec des écoles ou des organismes sociaux. Le but étant de faire découvrir la navigation à la voile et la navigation traditionnelle d’un vieux gréement au plus grand nombre, comme par exemple, à des adolescents en difficulté ou des adultes atteints de troubles psychiques. »

Pratique. Plus d’infos au 06 44 72 90 72 ou sur le site internet : www.lys-noir.org


Région de Saint-Nazaire : le semi-marathon de Brière annulé à cause du Coronavirus !

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L'édition 2020 du semi-marathon de Brière est annulé à cause du Coronavirus

L’édition 2020 du semi-marathon de Brière est annulé à cause du Coronavirus (©L’Echo de la Presqu’île)

L’Entente sportive des clubs de l’océan (Esco 44) de Saint-André-des-Eaux a appris la nouvelle ce mardi 10 mars 2020. En raison de l’épidémie de Coronavirus qui sévit actuellement, le semi-marathon de Brière prévu dimanche 15 mars 2020 est annulé par arrêté de la Préfecture de Loire-Atlantique.

2200 personnes étaient inscrites à cette épreuve qui fait partie du calendrier des courses hors stade du département. Depuis la semaine dernière, les rassemblements de plus 1 000 personnes sont interdits en France pour freiner la propagation du virus. Une mesure qui concerne essentiellement les lieux fermés mais qui peut être étendu aux manifestations de plein air.

Pas de remboursement

L’Esco 44, qui était en train de peaufiner les derniers détails, a dû faire face à cette décision la mort dans l’âme. Hier lundi, les organisateurs se montraient encore confiants quant à la tenue du semi-marathon.

Le club va envoyer un mail à tous les inscrits pour leur expliquer la situation. Stéphane Guézo, l’organisateur, précise qu’il n’y aura pas de remboursement.

Le club a peu de trésorerie et on ne peut pas rembourser tout le monde. On a pris la décision d’offrir leur dossard à toutes les personnes inscrites pour l’édition 2021.

En quelque sorte, c’est comme si le semi-marathon de Brière 2020 avait lieu en 2021.

Lire aussi : Coronavirus : la 16e édition de la foire-exposition de Pontchâteau est annulée

Municipales 2020. Marie-Claude Simonet, maire sortante de Guéron, présente sa liste

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Marie-Claude Simonet birgue une 4 mandat, elle est accompagnée de conseillers sortants.

Marie-Claude Simonet, maire sortante de Guéron, brigue une 4 mandat, elle est accompagnée de conseillers sortants. (©La Renaissance Le Bessin)

Marie-Claude Simonet, maire sortante de Guéron (Calvados) a présenté sa liste ouverte composée de 8 personnes, tous conseillers municipaux sortants. Tête de liste, elle brigue un 4e mandat à la demande de son conseil qui souhaitait repartir avec elle. Les projets de la liste sont, en fonction des compétences incombant à la municipalité, de continuer le travail commencé, de travailler sur le bien-être et bien vivre à Guéron et la proximité avec les habitants et aussi de garder le caractère rural de la commune grâce à une urbanisation raisonnée.

Lire aussi : Municipales 2020 à Guéron. Marie-Claude Simonet candidate à un 5e et dernier mandat

Composition de la liste

De gauche à droite : Olivier Genillon (55 ans), gérant de société ; Christian Outrequin (59 ans), cultivateur ; Marie-Claude Simonet (70 ans), retraitée, maire sortante ; Jérôme Baucher (59 ans), agriculteur ; Gisèle Leca (70 ans), retraitée ; Didier Llorca (52 ans), directeur de l’office tourisme de Bayeux Intercom. Manquent sur la photo : Francis Couespel (54 ans), technicien chez Orange et Michel Meslin (52 ans).

Ex de Malherbe. Lilian Compan, le retour vers Hyères

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Lilian Compan est désormais entraîneur et manager général de Hyères en National 2. C'est sa deuxième saison dans sa ville natale.

Lilian Compan est désormais entraîneur et manager général de Hyères en National 2. C’est sa deuxième saison dans sa ville natale. (©Hyères FC)

Dans l’imaginaire des supporters du Stade Malherbe Caen (Calvados), il est associé à des années où le jeu était roi. Lilian Compan était le finisseur d’une équipe qui vivait pour le but. « C’est à Caen que j’ai connu un football sans limite, se souvient le quadragénaire. En tant qu’attaquant, c’était un plaisir de dingue. »

Lire aussi : Ex de Malherbe. Stéphane Dedebant a trouvé son bonheur loin des terrains

« Les gens prenaient un pied pas possible au stade »

Arrivé en 2005 de Saint-Etienne, parti trois ans plus tard après avoir inscrit 25 buts sous le maillot caennais, Lilian Compan aura connu le « hourra football » cher à Franck Dumas. De la joie partagée et des résultats concluants, marqués par une montée en Ligue 1 et un maintien à la 11ème place.

A Caen, beaucoup de gens se rappellent de nous parce qu’ils prenaient un pied pas possible au stade. Nous aussi ! Le coach ne nous bridait pas. Il nous faisait confiance.

Les préceptes du Bayeusain ont rejailli sur son ancien avant-centre quand celui-ci a embrassé le métier d’entraîneur. A la tête du Hyères FC, dans sa ville de naissance, Lilian Compan reste tourné vers l’offensive. « Je préfère gagner 3-2 que 1-0 », assure-t-il. 

Lilian Compan a connu trois belles années à Caen, deux en Ligue 2 et une en Ligue 1. Il est parti en août 2008 après l'arrivée de Steve Savidan.

Lilian Compan a connu trois belles années à Caen, deux en Ligue 2 et une en Ligue 1. Il est parti en août 2008 après l’arrivée de Steve Savidan. (©Grégory Maucorps / Liberté)

« Très dur d’arrêter »

Comme beaucoup d’autres avant lui, Lilian Compan a connu la petite mort du sportif de haut niveau quand il a bouclé la boucle. C’était en 2012 et le Sudiste a arrêté là où tout avait commencé, à Cannes. Il avait 35 ans. 

J’étais parti de chez moi à 16 ans, je n’avais connu que le foot… C’était tout pour moi. Quand tu arrêtes, il y a de la peur. Ça a été très dur pendant trois mois. 

C’en était fini des restrictions qui accompagnent la vie d’un sportif professionnel (« pendant des années, j’avais fait attention à ce que je mangeais, à ce que je buvais, à mes sorties… ») et lui donnent, en même temps, un cadre rassurant. « Quand il n’y a plus tout ça, tu es un peu perdu. Heureusement, ça n’a pas duré longtemps. »

Entraîneur en National 2

Lilian Compan a vite rebondi dans le football. « J’avais passé mes diplômes au cas où », dit-il. L’ancien Stéphanois est devenu entraîneur après de courtes expériences comme recruteur et directeur sportif. Il a entraîné les U17 Nationaux de Cannes et les U19 Nationaux de Saint-Etienne avant de s’engager, en mai 2018, en faveur du club de Hyères.

Je suis entraîneur et manager général en National 2. J’ai une multitude de casquettes tous les jours, entre la politique sportive, le sponsoring, le recrutement… 

« Retrouver le monde professionnel »

A 42 ans, Lilian Compan se donne encore trois ans pour « remonter dans le monde professionnel ». « Si j’y arrive, tant mieux. Sinon, ce ne sera pas très grave. » Contacté en fin de saison dernière pour être adjoint en Ligue 2, il était resté fidèle à sa parole donnée à Hyères. « C’était peut-être une grosse connerie mais j’essaie de tenir mes engagements. »

En la matière, dit-il, Lilian Compan a été formé à bonne école au Stade Malherbe. Un club « de Ligue 1 » où « on marquait des buts sympas ». Un club qu’il n’est pas près d’oublier…

Coronavirus. La candidate aux élections municipales à Ouistreham Sophie Börner annule son meeting

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Sophie Börner tête de liste Ouistreham Ecologiste et Citoyenne pour les élections municipales 2020.

Sophie Börner tête de liste Ouistreham Ecologiste et Citoyenne pour les élections municipales 2020. (©AH/Liberté le Bonhomme libre)

Il n’y aura pas de meeting de la liste Ouistreham Ecologiste et Citoyenne menée par Sophie Börner ce mardi 10 mars 2020 à Ouistreham (Calvados). 

La candidate aux élections municipales dans la commune a décidé d’annuler son meeting de campagne par mesure de précaution face à l’épidémie de Coronavirus. Il s’agit pour la candidate « d’une décision difficile à prendre au cœur de la bataille électorale ». 

« Limiter la propagation du virus auprès des habitants »

Le meeting était prévu à 18 heures à l’intérieur de la Grange aux Dîmes, il n’aura donc pas lieu mais Sophie Börner maintient cependant une rencontre à l’extérieur devant le bâtiment, à 18h, pour expliquer cette décision.

« Nous souhaitons agir en responsabilité afin de limiter la propagation du virus auprès de nos habitants, notamment les plus fragiles d’entre eux. La protection de la santé publique dans la commune est une des missions du maire, nous l’assumons totalement », écrit la candidate dans son communiqué. 

Lire aussi : Municipales 2020. Ouistreham : que retenir du débat avec les trois candidats

 

Municipales 2020. Les 3 projets à retenir pour Condé-en-Normandie de Valérie Desquesne

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La liste unis et innovants pour Condé-en-Normandie menée par Valérie Desquesne.

La liste unis et innovants pour Condé-en-Normandie menée par Valérie Desquesne. (©DR)

Lors du premier tour des élections municipales dimanche 15 mars, Valérie Desquesne se présente pour un nouveau mandat avec sa liste Unis et innovants pour Condé-en-Normandie.

Après avoir dévoilé sa liste, la candidate a dévoilé son programme, dont voici trois projets qui ont retenu notre attention.

Une ferme solaire

C'est sur la friche Honeywell que la ferme solaire devrait voir le jour.

C’est sur la friche Honeywell que la ferme solaire devrait voir le jour. (©L’Orne Combattante)

Initié par Pascal Allizard, le projet de ferme solaire sur la friche Honeywell s’est poursuivi sous le mandat de Valérie Desquesne. La candidate souhaite poursuivre ce projet, en achevant les études de faisabilité écologique, technique et économique avec l’EPFN (Etablissement Public Foncier de Normandie).

Valérie Desquesne a aussi plusieurs pistes innovantes pour ce projet : 

Le but c’est de redonner vie à un site qui a marqué les esprits à Condé-sur-Noireau, pour leur montrer qu’il y a une vie après, et qu’il faut au contraire se projeter vers l’avenir. C’est un projet qui va être assez intéressant, car je travaille sur plusieurs pistes : soit on produit l’électricité et on la revend à ERDF, soit on se lance dans l’autoconsommation, et notamment des entreprises à proximité. C’est quelque chose d’innovant et on y travaille. Un deuxième choix qui s’offrira à nous c’est d’entrer dans le capital de la société qui créera cette ferme solaire, et est-ce que les habitants souhaiteraient participer à cette aventure et participer au capital. De plus en plus, les habitants se sentent concernés, et on souhaite travailler là-dessus avec eux.

Lire aussi : Une ferme solaire devrait voir le jour sur la friche Honeywell à Condé en Normandie

Rénover l’habitat

On le sait, l’habitat est un point noir à Condé-en-Normandie, et constituera un des gros chantier du mandat de Valérie Desquesne si elle est élue. La candidate promet l’ouverture d’un logement communal à la co-location pour accueillir des jeunes en apprentissage, en stage dans les entreprises locales. Elle propose également de mener une étude sur le devenir du terrain du champ de foire et de maintenir l’Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat.

Enfin, à long terme, la candidate envisage le remplacement de certaines HLM vides par des maison individuelles, notamment dans le quartier du Mesnil ou rue Saint-Jacques.

Lire aussi : Municipales 2020. Ce que les jeunes attendent du futur maire de Condé-en-Normandie

Développer le covoiturage

La maire sortante axe aussi son programme sur la mobilité, en annonçant l’amélioration ou la création d’aires de covoiturage, mais aussi la réflexion puis la création d’une plateforme de covoiturage locale et intergénérationnelle.

A noter également la création d’un nouveau tracé pédestre pour une boucle partant du parc de Condé allant jusqu’au château de Pontécoulant.

Lire aussi : Municipales 2020. Découvrez les colistiers de Valérie Desquesne à Condé-en-Normandie

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