Comment faire en sorte que les Hauts de Rouen (Seine-Maritime) ne soient plus considérés comme des quartiers de seconde zone, là où s’entasse la misère ?
Depuis quelques années, l’action publique a été forte en ce sens. Il y a d’abord eu la rénovation urbaine avec un premier plan de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (Anru) : 350 millions d’euros injectés. Ensuite est venue s’installer sur le quartier de la Grand Mare l’école des Beaux arts. Le choc, à l’époque. Que venaient faire des artistes sur ce promontoire populaire ?
LIRE AUSSI : GRAND FORMAT. Les Hauts de Rouen, de quartiers populaires à futur Eldorado ?
Après la « crise » provoquée par ce déménagement du centre-ville, les choses s’apaisent et des projets veulent naître, non sans mal. Puis s’est érigé le Centre de formation des apprentis (CFA). Près de 1 200 m2 de laboratoires dans un établissement flambant neuf. « Du monde vient de partout », grâce à l’implantation de cette école.
Ces expériences concrètes peuvent-elles permettre de ménager les populations et d’ainsi métamorphoser la perception que les habitants et les gens de l’extérieur ont de ces balcons de Rouen ? Éléments de réponses dans notre grand format, à découvrir ci-dessous.
• Si l’article ne s’affiche pas correctement, cliquez ici.